Verona - The oldest bride

Nom:

Seul son prénom est connu... Un prénom qui tient en 6 lettres... six petites lettres... Verona. Son nom de famille, quand à lui, est oublié et inconnu de tous. Il est même très probable que la brune elle-même ne s'en souvienne pas.

Race:

Elle fait partit des buveurs de sang, et en est plus que fière, d'ailleur.

Age:

"Vampirella" a définitivement cesser de compter passer sa centième année d'existence. Après tout, à quoi cela peut-il lui servir, puisqu'elle a l'éternité devant elle, sa jeunesse et sa beauté et que, l'éternité, si vous ne le saviez pas, c'est long.

Sexe:

Quelque indices...Elle a les cheveux long, noir; des formes avantageuse, un prénom de fille... Oui, c'est bien une femme... Après, libre à vous de le croire ou de demandez vérification.

Métier:

Un métier? A quoi ça sert? A gagner de l'argent pour vivre? Mais pourquoi donc perdre son temps alors que, grâce à ses doux yeux, Verona peut avoir ce qu'elle veut... Et puis, la seule nourriture donc elle a besoin n'est pas encore en vente libre, on ne peut que chasser pour la trouver. Après, concrètement, est-ce que être la première épouse de Dracula compte comme un métier?

caractéristiques Moral et Physique:

Verona est quelqu'un de complexe et de "profond". Oui, je sais, on ne dirait pas vraiment cela la première fois qu'on la voit, habillée si superficiellement mais toujours dans un goût exquit et en reste un maximum "provocante". Le monde de la jeune femme semble ainsi se résumé par son époux, les autres épouses de son époux, les vêtements, le sang, la luxure, le luxe, le superficiel. Donnez lui tout cela et Verona semblera des plus heureuse, souriant de ce sourire si spécial qui ne va qu'a elle, découvrant légèrement ses dents blanches dignent de colgate, ses lèvres pulpeuses toujours aussi...pulpeuse.

Pourtant, vous ne verrez pas ses deux magnifiques yeux d'un vert presque inhumain, s'illuminé si facilement. Il en faut beaucoup, pour plaire à la jeune femme... Ou peut-être en faut-il peu.

La jeune femme aux cheveux long et d'un noir naturel excessivement profond et inhabituel, est quelqu'un de réfléchie, posée, sage, obéissante, calme (elle ne se met que rarement en colère et ne montre presque jamais sa panique et son stress, qui pourtant peuvent facilement la faire succomber). Elle peut être douce, charmante, séduisante, séductrice, joueuse, adorable, amoureuse, aimante et fragile quand elle le veut (le plus généralement en comité, disons, restreint) mais est aussi cruelle, impitoyable, sans grade compassion, sadique, tyrannique, barbare, posséssive, jalouse, froide et sans coeur quand il le faut. Ce n'est pas quelqu'un qui a, disons, un sens de l'humour naturellement drôle. Le sien est plus sombre, sarcastique, mordant. Elle fait dans les détails que parfois elle seule peut comprendre, mais cela lui convient... De toute façon, Verona ne cherche pas à être drôle, elle cherche à être sensuellement attirante... Et, d'ailleur, la jeune femme atteint parfaitement ce but.

Il est possible que Verona soit la plus réfléchie des trois épouses de Dracula, elle dit ce qu'elle pense, mais avec modération (encore plus lorsque le célèbre vampire est dans les parages). Loin d'être bête, elle relègue pourtant son intêret personnel au second plan pour sevoir son actuel mari. On peut donc la dire loyale et dévouée ainsi que, d'un certain côté, éternellement romantique.

Armes:

La jeune femme n'a pas pour habitude de "combattre"... Bien sûr, elle "chasse", mais ce n'est pas pareil. Vous avez déjà vu une proie éssayer de se défendre au lieu de fuir? De plus, ses proies, Verona ne les ratte jamais...Ou presque.

Pourtant, si elle avait a combattre, la brune n'excellerait peu être pas énormément au corps à corps, bien qu'elle soit sportive. Elle se servirait plutôt de ses crocs, essayant de tenir le reste de son corps hors de porter. L'intimidation peut aussi être considéré comme une de ses armes.

Sinon... Elle peut aussi bien balancer ce qui lui tombe sous la main sur son "adversaire".

Histoire:

Née dans une famille de riches nobles Italien, la petite Verona eut une enfance tranquille et paisible, mélant luxe et superciel... Bref, une enfance des plus idylliques. La petite fille était l'unique enfant de ses parents, ce qui causait parfois des disputes entre ceux-ci, son père voulant déséspérément un fils pour honnorer le nom de la famille. Bref, après une énième dispute, ses parents se séparèrent. La mère, Valentina, partit rejoindre le château familliale en plein coeur de l'Italie, laissant sa fille unique avec un père qui ne voyait en elle que ce qu'il n'aurait pas voulu avoir comme enfant. Pourtant, il accepta de s'occuper d'elle, lui payant les meilleures nourrices possible. Toutes passèrent dans le lit du père. Verona, elle, continuait de vivre, essayant de surmonté la première période difficile de sa vie de fillette.

Ce fut au début de son adolescence que le cercle des exils commença. Elle dût déménagé une première fois en Angleterre, ce qu'il restait de sa famille étant exilé politiquement. Ce fût dur, plus dur que tout le reste. L'adolescente qu'elle était ne voulait pas partir et laisser Esteban, son premier amour (qui, tout compte fait, ne comptait pas vraiment à ses yeux...c'était juste le fait de pouvoir aimer). A Londres, elle dût tout recommencer. Ils restèrent là-bas deux ans puis durent de nouveaux partir pour la France, puis pour l'Espagne, puis pour l'Autriche.

Au fur et à mesure, Verona gradissait. Elle devenait de plus en plus belle, de plus en plus fascinante, de plus en plus intelligente et rusée. Elle avait appri à ne plus aimer, à ne plus s'attacher aux choses et aux personnes qu'elle cotoyait, de peur de repartir de nouveau le lendemain.

Enfin, elle arriva en Transylvanie. Elle avait dix-huit ans, à l'époque. Elle trouve ce pays trop "blanc" pas assez "moderne" pour l'époque. Tout semblait être à mourir d'ennuit. Elle ne se fit pas, où peu d'amis, jugeant ne pas en avoir besoin, priant le ciel pour pouvoir bientôt partir de cet endroit. Le ciel ne répondit pas.

Oui, Verona était croyante. Il y a une ironie certaine, lorsqu'on ce qu'elle est devenue aujourd'hui. Il ne reste plus rien de la faible fois qu'elle éprouvait pour le ciel à cette époque.

Bref... Les jours, les mois, les années passèrent et ils restaient s'encroûter en Transilvanie.Puis, la jeune brune eut 22 ans. Chose "amusante", ce fût le jour de son vingt-deuxième que son père, gravement malade, choisit pour mourir. Et la voilà à présent devenue une "sorcière", une "alliée de satan", comme la plus part des gens du village où elle résidait l'appelait à présent.

Au boût de quelques mois, trois pour être précis, la jeune femme quitta ce village et marcha sans grand but. Ce fut alors qu'elle réussit finalement à se rendre à Copehague, pensant alors quitté définitivement la Transilvanie, qu'elle rencontra le Comte Dracula. Elle fut de suite charmée par sa personnalité "noire" mais "profonde". Pour une fois (la première?) Verona découvrait ce que c'était qu'aimer. Vraiment aimer. Pas seulement pour le sens de ce verbe mais pour la personne en face d'elle. Elle le suivit même jusqu'en Transilvanie, où elle s'était jurer de ne plus jamais remettre les pieds. Après un temps, il fit d'elle une vampire, lui offrant la vie éternelle.

Puis, un temps après, Aleera arriva. Verona vécut plutôt mal son arrivée, étant rongée par la jalousie et l'orgeuil. Pourquoi lui fallait-il quelqu'un d'autre? Elle ne lui suffisait plus? Qu'avait-elle fait? Etait-ce sa faute? La punissait-il?
Toutes ses questions trottaient dans la tête de la femme aux cheveux noirs comme la nuit. Elle n'y trouvait aucune réponse.

Ce fût dur mais, au fil du temps, Verona accepta la présence de Aleera qu'elle appri à conaitre et à apprécier. A présent, il ne reste rien de la jalousie de Verona avait éprouver pour Aleera. Au contraire, elles s'entendent bien; malgré leur tempéraments opposés.

La venue de Marishka, quant à elle, fût bien mieux vécut. Peu être parce qu'elles étaient deux à le vivre. peu être parce qu'elle avait déjà vécut ça. Peu être parce qu'elle se devait d'être plus ouverte. Qui sait?

Dans tout les cas, Verona vit à présent avec les deux autres pour qui elle éprouve une sorte de fraternité. Elle s'entend bien avec chancune d'entre elles pour des raisons totalement différente, et c'est très bien comme cela.

Qualité de jeu:

Tant que j'ai de l'inspiration, j'ai un niveaux bon, voir même "élever". Pourtant, dès que l'inspiration n'y est pas, je peux écrire moins bien (et plus lentement T_T)

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